2Euros Commémorative FRANCE 2018, frappe UNC. Thème : Simone Veil. Qualité : UNC (Non Circulé) Tirage : 15 000 000 exemplaires en UNC, 10 000 en BU et 10 000 en BE. Bi-métallique (centre en maillechort - anneau en cupronickel) - 8,5 g - 25,75 mm de diamètre - 2,20 mm d'épaisseur. A l'occasion de l'émission d'une pièce de 2 euros
mars 19, 2020 par L’euro est une monnaie jeune, qui a fêté ses 20 ans. Le 4 janvier 1999, 11 membres de l’Union européenne ont introduit une nouvelle monnaie commune appelée euro. Pendant les trois premières années, la monnaie a existé virtuellement, utilisée uniquement pour les transactions sans numéraire et les transactions bancaires. Les pièces en euros ont été frappées pour la première fois au millésime 1999, mais n’ont été mises en circulation qu’en 2002. après une période de transition pendant laquelle les monnaies nationales et l’euro coexistaient dans chaque pays. Impact de l’Euro sur la numismatique Depuis deux décennies, l’euro a été une véritable aubaine pour la numismatique en Europe et au-delà , entraînant une explosion des pièces en circulation et commémoratives collectées par des millions de citoyens en Europe et d’autres aux États-Unis, en Asie et ailleurs. Cela a permis pour de nombreux Européens de découvrir cette Europe qui se construit pas à pas. L’intérêt du public est surtout porté sur les pièces ayant réellement circulation. Les pièces en or et argent, n’ayant pas cours légal, sont relativement dédaignées malgré les faibles quantités d’émission. En fait, l’impact de l’euro sur la numismatique en Europe est l’une des principales raisons pour lesquelles on estime aujourd’hui que le marché européen de la numismatique est plus important que celui des États-Unis en nombres de collectionneurs, voire de ventes. Une part importante de cette activité provenant des collectionneurs allemands. L’euro a contribué à stimuler et à maintenir un intérêt accru pour les pièces modernes. Les Euros La grande majorité des euros et centimes que nous avons en porte-monnaie ont donc une cote proche de leur valeur faciale. Mais certains millésimes valent bien plus que leur valeur faciale parce que des pays Européens ont émis des monnaies avec de faibles tirages. La cote des pièces en euros est très variable d’un pays à l’autre, d’un modèle de pièce à l’autre et varie aussi selon les années. Notre nouvelle collection de cotations a commencé avec Monaco et vue le succès que ce catalogue a eu, cela nous a encouragé à poursuivre avec un nouvel opus Andorre ». Nous avons commencé parmi les pays les plus recherchés par les collectionneurs. Le suivant sera le Vatican. Pour les tirages nous sommes repartis les chercher à la source, c’est-à -dire auprès des Instituts émetteurs. En effet on trouve de nombreuses erreurs sur différents sites web. ∇ Ce catalogue est en cours de remplissage et sera mis à jour régulièrement Collection Euros monnaies Argus des monnaies en euro et les pièces rares, selon les pays 1 – ANDORRE 2 – MONACO 3 – VATICAN A venir 4 – SAINT MARIN A venir EURO FRANCE Les monnaies de circulations Tirages et Valeurs des pièces Ces dernières années l’intérêt des collectionneurs pour les pièces de circulations s’est accru. Bien que très nettement » moins rares que les pièces en BE et BU, il devient tout de même plus difficile de trouver certains millésimes en parfait état. D’autre part les tirages des pièces des dernières années ont considérablement baissé. La valeur des pièces de circulations dépend bien évidemment de son état de conservation et de sa qualité de frappe. Tirages et Valeurs des pièces de 5 centimes d’euro, 5 cents, France – pièces de circulations, BU, BE>> Tirages et Valeurs des pièces de 10 centimes d’euro, 10 cents, France – pièces de circulations, BU, BE>> Tirages et Valeurs des pièces de 20 centimes d’euro, 20 cents, France – pièces de circulations, BU, BE>> Tirages et Valeurs des pièces de 50 centimes d’euro, 50 cents, France – pièces de circulations, BU, BE>> Tirages et Valeurs des pièces de 1 euro, France – pièces de circulations, BU, BE>> Tirages et Valeurs des pièces de 2 euro, France – pièces de circulations, BU, BE>>
UnionEuropéenne Propositions pour la présidence française Claude Mandil 21 avril 2008 . 2 2 Introduction La mission qui nous été confiée par le Premier ministre est relative à la sécurité énergétique. Le présent rapport traite donc de sécurité, mais il nous semble important de rappeler d’emblée qu’une politique énergétique, qu’elle soit nationale ou européenne, doit
Texte de la QUESTION M. Jean-Marc Roubaud attire l'attention de M. le ministre des affaires étrangères et européennes sur les conclusions du sommet mondial sur la sécurité alimentaire qui s'est tenu récemment à Rome au siège de la FAO destiné à donner une nouvelle impulsion à la lutte contre la faim et la malnutrition qui touche 1,2 milliard d'êtres humains à travers le monde. Aujourd'hui, plus de 17 000 enfants vont mourir de faim, un toutes les cinq secondes, six millions par an. D'après la FAO, pour venir à bout de ce problème, le monde devrait produire 70 % d'aliments en plus d'ici 2050. En 2008, les dirigeants du G20 se sont engagés à rassembler 20 milliards de dollars pour lutter contre la faim dans le monde. À l'heure actuelle, on attend toujours que ces promesses soient mises en application. Le manque d'implication de la communauté internationale a bien évidement des conséquences. Le programme alimentaire mondial PAM a vu son budget réduit de 3 milliards de dollars, faute de financement. Les questions alimentaires ne touchent pas uniquement les pays pauvres. Aux États-unis, un rapport gouvernemental a montré que près de 15 % des foyers américains, soit 17 millions d'entre eux, ont eu du mal à remplir leurs assiettes au cours de l'année 2008. Cela fait trois millions de plus qu'en 2007. En conséquence, il lui demande de lui faire connaître son sentiment à ce sujet. Texte de la REPONSE La crise alimentaire de 2008 a révélé les conséquences d'un désintérêt pour l'agriculture, marqué par la baisse de l'aide au développement dans ce secteur, le recul des politiques agricoles et une confiance excessive dans les marchés mondiaux. Elle a rappelé au monde que la sécurité alimentaire est un impératif pour la stabilité politique, même si les conflits peuvent avoir bien d'autres causes. Cette crise n'était pas seulement une conséquence de l'insuffisance de l'offre sur les marchés agricoles mondiaux. Elle était également liée aux dérèglements de ces marchés. Parce qu'elle frappe d'abord les plus vulnérables, la récession mondiale aggrave le tableau de la pauvreté et de la faim dans le monde un milliard de personnes, soit 15 % de la population mondiale, ne mange pas à sa faim actuellement. En appelant à un partenariat mondial pour l'agriculture et la sécurité alimentaire, le 3 juin 2008, à Rome, le Président de la République a plaidé pour plus de cohérence dans les décisions internationales ayant des impacts sur la sécurité alimentaire mondiale et, particulièrement, celle des pays en développement ; la mobilisation de toute l'expertise mondiale sur les défis que pose la nécessité de nourrir 9 milliards d'humains en 2050 et d'éradiquer la faim ; plus d'investissements dans l'agriculture, la sécurité alimentaire et la lutte contre la malnutrition des pays en développement. La mobilisation internationale, en réponse à la crise alimentaire de 2008 et à la crise financière de 2009, a été importante. La communauté internationale a été remarquablement réactive, à travers de nouveaux instruments, des mécanismes de décision rapide, la réallocation des crédits, l'instruction de nouveaux projets. Sous la présidence française de l'Union européenne, une facilité européenne additionnelle de réponse rapide à la crise, dotée de 1 milliard d'euros, a ainsi été adoptée et mise en oeuvre. Les engagements pris à L'Aquila en juillet 2009 pour 3 ans portaient sur plus de 20 milliards de dollars. La France y a pris toute sa part, puisqu'elle a prévu de consacrer plus de 1,5 milliard d'euros à la sécurité alimentaire sur trois ans. Ces engagements concernent notamment l'action de l'Agence française de développement AFD, qui finance à hauteur de plus de 323 millions d'euros, en 2009, des projets dans le domaine de la sécurité alimentaire. Au niveau multilatéral, la France a augmenté sa contribution au FIDA 35 millions d'euros pour le triennium 2010-2012 contre 23 millions d'euros lors de la reconstitution précédente. Elle a soutenu la réforme de la FAO, organisation dont le mandat est essentiel et qui doit guider la mobilisation internationale. Elle a soutenu résolument la transformation du comité pour la sécurité alimentaire pour qu'il devienne la plate-forme de dialogue politique dont les acteurs mondiaux ont besoin. Enfin, notre pays apporte son appui aux travaux de l'équipe spéciale de haut niveau sur la sécurité alimentaire HLTF créée par M. Ban Ki Moon début 2008 et qui réunit 23 agences multilatérales. D'une manière générale, la part de l'aide consacrée à l'agriculture et à la sécurité alimentaire augmente et l'application des principes de Paris et d'Accra sur l'efficacité de l'aide dans le secteur agricole et alimentaire progresse. L'augmentation des enveloppes ne fera cependant pas tout. L'alignement de l'aide sur des politiques nationales négociées entre les acteurs locaux est essentiel. Dès lors que la crise alimentaire est une des dimensions de la crise économique mondiale, et que les solutions ne relèvent pas seulement de progrès sur l'offre agricole mais aussi sur la croissance, la création d'emplois et la distribution des revenus, l'action de la France pour résoudre la crise financière, dans le cadre du G 20, est également un élément de réponse aux défis de la sécurité alimentaire.
Économie Espagne : une faute de frappe à 10 milliards d'euros. Madrid a corrigé jeudi sa prévision de dette publique pour 2014, celle-ci devant atteindre 98,9 % du PIB et non 99,8 % comme
Alors que se tient, ce jeudi 23 avril, un Conseil européen des chefs d’État sur la réponse économique commune à la crise sanitaire, 38 sénateurs centristes appellent à davantage de coordination et à une solidarité accrue entre les États membres. Ce texte est cosigné par Hervé Marseille, président du groupe Union Centriste au Sénat, Jean-François Longeot, sénateur du Doubs, et 36 sénateurs centristes. La liste complète des signataires se trouve à la fin de cette tribune. La crise sanitaire, économique et sociale que nos sociétés affrontent est inédite. Elle est inédite par sa violence et son ampleur, provoquant un mouvement récessif global qui, en l’espace de quelques semaines à peine, déstabilise tous les pays du monde, et particulièrement les États européens. L’Union européenne et ses États membres venaient pourtant de tourner la page de la crise financière, comme en témoigne la récente sortie de la Grèce de huit ans de mise sous tutelle. L’Europe regardait collectivement l’avenir avec confiance, ambitionnant, entre autres, de devenir le premier continent neutre en carbone à l’horizon 2050 et le leader de l’économie numérique de demain. Le confinement quasi général de la population européenne semble, par son impact économique, reléguer au second plan ces ambitions. Mais si cette crise est inédite, elle n’est en rien insurmontable. Certes, les premières réactions ont été désordonnées et ont vu les intérêts des États membres se confronter dramatiquement. Le premier temps de la crise a également démontré les limites d’une réponse européenne dans un domaine — la santé publique — restant de la compétence des États membres. Toutefois, elle a également révélé que ces mêmes États membres ne pourraient relever un tel défi transnational et donc, par définition, commun, sans une vision et une coordination d’ensemble. Une action européenne venant compléter, et non se substituer à celle des États membres, est donc indispensable. Heureusement, et contrairement à la crise financière de 2008, la crise économique de 2009 et la crise des dettes publiques de 2010, la réponse européenne est, cette fois-ci, au rendez-vous La Banque centrale européenne BCE a mis en place un programme massif de rachats d’actifs atteignant le montant inégalé de 750 milliards d’euros, permettant de soutenir les pays en difficulté et de prévenir tout risque de manque de liquidités. La Commission européenne, pour sa part, entend coordonner la production d’équipements de protection individuelle et le rapatriement des ressortissants européens, finance les recherches sur un traitement et mobilise le budget de l’UE et la Banque européenne d’investissement BEI pour préserver l’emploi et aider les entreprises frappées par la crise. Mais surtout, elle a décidé d’appliquer une flexibilité maximale et inédite aux règles budgétaires afin d’aider les gouvernements à soutenir financièrement tant leurs systèmes de santé que leurs entreprises. Se pose désormais la question de l’Europe d’après. L’action européenne doit maintenant s’organiser dans le temps, et s’adapter en fonction de l’évolution de la crise que nous connaissons. Face aux défis communs, répondre collectivement est plus que jamais essentiel. Une Europe qui protège, ce n’est pas une Europe qui se cloisonne et dont les membres ferment unilatéralement leurs frontières faute de mieux. C’est au contraire une Europe qui organise une coopération décisive pour lutter efficacement contre le virus, une Europe qui coordonne les actions des États qui la composent. À court terme, les États membres ne pourront faire l’économie d’une approche concertée concernant la levée des mesures de confinement, faute de quoi de nouvelles flambées épidémiques pourraient survenir et prolonger la fermeture des frontières. La Commission et le Conseil ont justement présenté, mercredi 15 avril, une stratégie en ce sens, proposant des règles communes encadrant le déconfinement. Nous plaidons pour que les États membres s’y conforment, et coordonnent leurs stratégies. À long terme, nous considérons qu’une plus grande solidarité financière au sein de la zone euro et la mise en place d’une véritable union budgétaire ne peuvent plus attendre. À ce titre, nous saluons les mesures adoptées par l’Eurogroupe et qui doivent être entérinées par les chefs d’État et de gouvernement cette semaine jusqu’à 240 milliards d’euros de prêts du Mécanisme européen de stabilité MES, un fonds de garantie de 200 milliards d’euros pour les entreprises et jusqu’à 100 milliards pour soutenir le chômage partiel. Une fois la crise passée, il s’agira donc d’achever les chantiers qui auraient dû l’être il y a longtemps déjà , qu’il s’agisse de l’union bancaire afin d’assurer la solidité et la stabilité de la zone euro ou encore du budget de cette même zone euro dont l’esquisse reste largement insuffisante tant dans ses montants que dans ses ambitions. Nous affirmons que la crise actuelle doit être le moment de porter haut nos ambitions communes, car nous ne pouvons pas céder aux sirènes d’un nationalisme délétère. L’Europe doit, au lendemain de cette crise sans précédent, réaffirmer son autonomie stratégique dans la compétition mondiale. Elle doit accélérer la double transition engagée de son industrie vers la neutralité carbone et le leadership numérique. Enfin, elle doit veiller à ne pas s’isoler ou se perdre dans les affres d’un souverainisme nostalgique d’une économie planifiée. L’ensemble des enjeux auxquels nous faisons face, économiques et budgétaires aujourd’hui, stratégiques et environnementaux demain, imposent une réponse commune des États membres, élaborée dans la concertation entre eux et avec les institutions de l’Union. Face au danger mortel » que constituent l’épidémie et ses conséquences, c’est bien encore et toujours de solidarité dont l’Europe et ses citoyens ont besoin. Liste complète des cosignataires Hervé Marseille, sénateur des Hauts-de-Seine, président du groupe Union Centriste ; Jean-François Longeot, sénateur du Doubs ; Annick Billon, sénatrice de la Vendée ; Jean-Marie Bockel, sénateur du Haut-Rhin ; Michel Canevet, sénateur du Finistère ; Alain Cazabonne, sénateur de la Gironde ; Olivier Cigolotti, sénateur de la Haute-Loire ; Yves Détraigne, sénateur de la Marne ; Nassimah Dindar, sénatrice de La Réunion ; Elizabeth Doineau, sénatrice de la Mayenne ; Daniel Dubois, sénateur de la Somme ; Catherine Fournier, sénatrice du Pas-de-Calais ; Françoise Gatel, sénatrice d’Ille-et-Vilaine ; Jocelyne Guidez, sénatrice de l’Essonne ; Olivier Henno, sénateur du Nord ; Jean-Marie Janssens, sénateur de Loir-et-Cher ; Sophie Joissains, sénatrice des Bouches-du-Rhône ; Claude Kern, sénateur du Bas-Rhin ; Laurent Lafon, sénateur du Val-de-Marne ; Michel Laugier, sénateur des Yvelines ; Nuihau Laurey, sénateur de la Polynésie française ; Valérie Létard, sénatrice du Nord ; Anne-Catherine Loisier, sénatrice de la Côte-d’Or ; Pierre Louault, sénateur d’Indre-et-Loire ; Jean-Claude Luche, sénateur de l’Aveyron ; Pascal Martin, sénateur de la Seine-Maritime ; Pierre Médevielle, sénateur de la Haute-Garonne ; Jean-Pierre Moga, sénateur de Lot-et-Garonne ; Catherine Morin-Desailly, sénatrice de la Seine-Maritime ; Jacques Le Nay, sénateur du Morbihan ; Evelyne Perrot, sénatrice de l’Aube ; Gérard Poadja, sénateur de la Nouvelle-Calédonie ; Jean-Paul Prince, sénateur de Loir-et-Cher ; Sonia de La Provôté, sénatrice du Calvados ; Denise Saint-Pé, sénatrice des Pyrénées-Atlantiques ; Nadia Sollogoub, sénatrice de la Nièvre ; Lana Tetuani, sénatrice de la Polynésie française ; Sylvie Vermeillet, sénatrice du Jura.
Mercredi3 décembre 2008. Présidence de M. Pierre Lequiller, et particulièrement la mobilisation volontaire et continue de la Présidence française de l’Union européenne, la recherche, grâce notamment aux autorités britanniques, des solutions les mieux adaptées pour surmonter la crise des liquidités et la crise de confiance, la cohésion des différents Etats
AzurPhilatélie vous propose la piéce de 2 euros commémorative de France de l'année 2008 : Présidence Française de l'Union Européenne
Avec130 000 pièces en circulation depuis 2005, la pièce de deux euros de San Marin vaut plus que ce que l’on pense: environ 120 euros par pièce. La cotation de cette pièce a une valeur assez élevez, tout d’abord pour sa localité. Saint-Marin est située au cœur de l’Italie, ce n’est pas un pays mais une principauté.
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