LATP a trois groupes de phosphate qu'il peut donner, libĂ©rant de l'Ă©nergie Ă  chaque fois. La myosine est la protĂ©ine motrice qui contracte les muscles en tirant sur des bĂątonnets d'actine (filaments) dans les cellules musculaires. La liaison de l'ATP Ă  la myosine provoque le relĂąchement du moteur sur la tige d'actine. La rupture d'un FAQTout savoir sur la kinĂ©siologie Tout savoir sur la kinĂ©siologie Vous souhaitez en savoir plus sur la kinĂ©siologie, ses prĂ©misses et sa maniĂšre de fonctionner ? Voici les questions les plus souvent posĂ©es par mes clients. Tout savoir sur la kinĂ©siologie La kinĂ©siologie est une mĂ©thode thĂ©rapeutique qui permet de restaurer l’équilibre, retrouver la santĂ© et promouvoir le bien-ĂȘtre. NĂ©e dans les annĂ©es 60, aux États-Unis, elle dĂ©coule de la mĂ©decine orientale les mĂ©ridiens d’énergie et les points d’acupuncture, de la chiropractie – les pĂšres de la kinĂ©, George Goodheart et John Thie, Ă©taient tous deux chiropraticiens – et de la PNL programmation neurolinguistique. Le postulat de la kinĂ©siologie est le suivant le corps enregistre les moindres dĂ©tails de la vie d’un individu, Ă  un niveau conscient et inconscient. Il est par consĂ©quent le mieux placĂ© pour connaĂźtre ses propres besoins. Pour permettre au corps de rĂ©vĂ©ler ses carences et ses troubles, mais aussi de donner des solutions pour retrouver la santĂ©, la kinĂ©siologie a recours au test musculaire. À quoi sert le test musculaire ? Le test musculaire est l’instrument dont dispose le thĂ©rapeute pour interroger le corps et dialoguer avec lui. Ou plus prĂ©cisĂ©ment avec le subconscient, qui stocke toutes les mĂ©moires de l’individu. Le test musculaire se base sur le principe que tout dĂ©sĂ©quilibre, tout conflit et tout stress se manifestent par une faible rĂ©sistance du muscle. Comment se dĂ©roule le test musculaire ? Le thĂ©rapeute exerce une lĂ©gĂšre pression sur diffĂ©rents groupes musculaires, tout en posant une question ou en faisant une dĂ©claration. Le test musculaire le plus connu est celui du bras tendu le patient maintient son bras tendu et le thĂ©rapeute appuie lĂ©gĂšrement sur son poignet ou son avant-bras. En testant les diffĂ©rents muscles du corps, le kinĂ©siologue obtient des rĂ©ponses Ă  ses questions. Son travail s’apparente Ă  celui d’un dĂ©tective corporel, qui explore consciencieusement chaque piste. Par convention, quand la rĂ©ponse Ă  la question posĂ©e par le thĂ©rapeute est positive, le muscle est tonique et rĂ©siste. Quand elle est nĂ©gative, le muscle lĂąche. Par exemple, le thĂ©rapeute peut poser une question du genre La prise de poids de ValĂ©rie est-elle liĂ©e Ă  son insatisfaction au sein de son couple ? ». Le muscle donnera lui-mĂȘme la rĂ©ponse, en restant stable ou, au contraire, en cĂ©dant. Par quel processus le subconscient parvient-il Ă  livrer des informations au thĂ©rapeute ? Comparez un instant votre corps Ă  un ordinateur. Tout votre passĂ© et toutes vos Ă©motions sont stockĂ©s sur un disque dur, reprĂ©sentĂ© par le cerveau et les muscles. Quand un bogue s’installe, le logiciel se met Ă  planter et l’ordinateur fonctionne au ralenti. Le bogue symbolise en quelque sorte une Ă©motion mal vĂ©cue ou mal digĂ©rĂ©e. Celle-ci gĂ©nĂšre un blocage dans la circulation de l’énergie dans le corps les informations du logiciel et ce blocage provoque l’apparition de symptĂŽmes l’ordinateur qui ne rĂ©pond plus. En interrogeant le corps via le test musculaire, le thĂ©rapeute repĂšre les dĂ©faillances, les rĂ©pare et les Ă©limine. Il rĂ©initialise, en quelque sorte, votre ordinateur pour qu’il puisse Ă  nouveau fonctionner normalement. Comment se dĂ©roule une sĂ©ance de kinĂ©siologie dans votre cabinet ? Avant toutes choses, nous identifions clairement la raison de votre venue rĂ©soudre un problĂšme, amĂ©liorer une performance, comprendre une situation, etc. Nous fixons Ă©galement un objectif Ă  atteindre. Ensuite, je pose des questions Ă  votre corps, Ă  travers le test musculaire, et mĂšne un travail d’exploration. J’obtiens ainsi les rĂ©ponses exactes et les procĂ©dures sur mesure Ă  suivre. Puis, je procĂšde aux ajustements nĂ©cessaires pour dĂ©bloquer les Ă©motions et les Ă©nergies accumulĂ©es, via des pressions su
Loxydation du glucose est un processus chimique qui fournit de l’énergie Ă  un organisme pour mener Ă  bien toutes ses activitĂ©s requises. Au cours de ce processus, le glucose, une simple molĂ©cule de sucre obtenue Ă  partir des aliments, est dĂ©composĂ© en dioxyde de carbone et en eau. Cette rĂ©action libĂšre de l’énergie et la
PrĂ©sente tout autour de nous chaque jour, l’énergie est insaisissable, difficile Ă  percevoir. Tenez, regardons d’un peu plus prĂšs
 Un bateau qui se dĂ©place grĂące au vent qui gonfle ses voiles, une bĂ»che qui se consume dans un feu, les ardoises d’un toit chauffant au soleil, un homme saisissant son chapeau pour le placer sur sa tĂȘte
 Qu’ont en commun toutes ces choses ? À premiĂšre vue rien, et pourtant toutes ces actions utilisent diverses formes d’énergies. Et oui, indispensable Ă  la vie sur terre et aux activitĂ©s humaines, l’énergie est omniprĂ©sente dans notre quotidien. Il est vrai qu’on ne peut pas toujours la voir, mais ses effets sont bien rĂ©els et sans elle, il serait presque impossible de se nourrir, se chauffer, s’habiller, se laver ou encore se dĂ©placer. Tout ce qui vit Ă  besoin d’énergie, elle est le moteur du monde. Pour bien comprendre ce qui se cache derriĂšre cette notion complexe qu’est l’énergie, revenons un temps en arriĂšre, et regardons ensemble ce qui distingue les formes d’énergie des sources d’énergie. Les formes d’énergie Qu’elle soit mĂ©canique, thermique, cinĂ©tique, chimique ou encore nuclĂ©aire, l’énergie peut avoir une multitude de formes. Regardons-les d’un peu plus prĂšs, en voici 4 importantes Énergie cinĂ©tique Elle correspond Ă  l’énergie d’un objet lorsque celui-ci est mis en mouvement. Si ce dernier tombe par exemple, la chute va lui confĂ©rer de l’énergie cinĂ©tique. Selon la force du mouvement, la quantitĂ© d’énergie cinĂ©tique est plus ou moins importante. Énergie mĂ©canique Elle se rĂ©fĂšre aux outils et objets, et permet d’accomplir une action ou un mouvement. Sur un vĂ©lo, l’action de pĂ©daler va permettre Ă  la roue de tourner. L’énergie mĂ©canique créée par la mise en mouvement de cette roue va ainsi faire avancer le vĂ©lo. Énergie musculaire Pendant longtemps, jusqu’à la dĂ©couverte du feu, la seule Ă©nergie que l’homme utilisait Ă©tait celle de son propre corps. La production d’énergie par nos muscles nĂ©cessite une source d’énergie la nourriture. L’énergie musculaire nous permet ainsi de nous dĂ©placer ou encore de mettre des objets en mouvement. Énergie thermique Elle correspond tout simplement Ă  la chaleur. Lorsque les molĂ©cules commencent Ă  s’agiter, de la chaleur va se crĂ©er, et cette chaleur pourra ensuite ĂȘtre utilisĂ©e comme source d’énergie. Au siĂšcle dernier, les machines Ă  vapeur d’eau Ă©taient utilisĂ©es pour faire avancer les bateaux et les trains. Aujourd’hui, la vapeur d’eau est utilisĂ©e principalement pour produire de l’électricitĂ©, dans ce qu’on appelle des “centrales thermiques”. Bien Ă©videmment, il existe d’autres formes d’énergies que nous avons citĂ©es plus haut, telles que l’énergie chimique, l’énergie rayonnante ou encore l’énergie nuclĂ©aire. Les sources d’énergie Les Ă©nergies fossiles Les Ă©nergies fossiles regroupent le charbon, le gaz naturel et le pĂ©trole. Elles proviennent de la dĂ©composition d’organismes vivants qui se sont formĂ©s il y a des millions d’annĂ©es sous terre. À l’inverse des Ă©nergies renouvelables, leur quantitĂ© sur Terre est limitĂ©e. Ces Ă©nergies ont la particularitĂ© d’émettre des gaz Ă  effet de serre lorsqu’on les brĂ»le. Elles sont aujourd’hui principalement utilisĂ©es comme carburant ou combustible pour le transport, le chauffage et la production d’électricitĂ©. Les Ă©nergies renouvelables Les Ă©nergies renouvelables se rĂ©partissent en cinq catĂ©gories l’éolien le vent, le solaire le soleil, l’hydraulique l’eau, la gĂ©othermie la chaleur de la terre et la biomasse le bois et les matiĂšres organiques. Les Ă©nergies renouvelables sont prĂ©sentes en quantitĂ© illimitĂ©e dans notre environnement, elles sont donc inĂ©puisables et n’émettent pas de gaz Ă  effet de serre. L’énergie nuclĂ©aire L’énergie nuclĂ©aire se base sur l’utilisation d’un mĂ©tal radioactif, l’Uranium, qui a la particularitĂ© d’avoir des atomes au noyau instable. Lorsque ces noyaux se “cassent”, une grande quantitĂ© d’énergie va ĂȘtre libĂ©rĂ©e c’est ce qu’on appelle la fission nuclĂ©aire. La chaleur libĂ©rĂ©e par la fission est utilisĂ©e dans les centrales nuclĂ©aires pour faire bouillir de l’eau. La vapeur ainsi obtenue fait tourner une turbine qui produit de l’électricitĂ©. L’énergie primaire et l’énergie finale, deux notions bien diffĂ©rentes. L’énergie primaire, c’est l’énergie que peut produire une ressource naturelle comme le bois, le gaz ou le pĂ©trole avant toute transformation. L’énergie finale, Ă  l’inverse de l’énergie primaire, a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© transformĂ©e et utilisĂ©e elle intervient au stade final de la transformation de l’énergie. Par exemple, l’essence pĂ©trole transformĂ© pour faire rouler sa voiture ou de l’électricitĂ© pour charger son tĂ©lĂ©phone. L’énergie quel lien avec le changement climatique ? Depuis quelques dizaines d’annĂ©es, les tempĂ©ratures augmentent un peu partout dans le monde, le niveau des ocĂ©ans monte, les inondations se multiplient, les Ă©pisodes de sĂ©cheresse sont de plus en plus graves et les tempĂȘtes de plus en plus violentes. C’est ce qu’on appelle le changement climatique, ou encore le dĂ©rĂšglement climatique. Mais comment a-t-on bien pu en arriver lĂ  ?Le rĂŽle jouĂ© par l’énergie est loin d’ĂȘtre anodin. Les100 questions. 1. 1. Mieux comprendre les myosites et leurs enjeux - Que dois-je savoir pour mieux comprendre ? 4. Qu'est-ce qu'une cellule musculaire ? Un muscle est constituĂ© par le regroupement de plusieurs millions de fibres musculaires ou cellules musculaires. Une fibre musculaire est microscopique, a une forme oblongue et a un Question facile, voyons l’énergie, c’est ma facture d’électricitĂ©, ou Ă©ventuellement de gaz. Si je suis trĂšs concentrĂ©, j’y rajouterai peut-ĂȘtre mon plein d’essence, si je le suis encore plus le remplissage de ma cuve Ă  fioul, et puis on va dire que l’on a fait le tour du sujet. L’économiste ajoutera peut-ĂȘtre que l’énergie c’est 7% des dĂ©penses des mĂ©nages en France, et donc que si l’électricitĂ© augmente c’est ennuyeux parce que cela comprime un peu le pouvoir d’achat, mais que personne n’en mourra. Mais, avec ces approches Ă©conomiques, tout le monde passera Ă  cĂŽtĂ© de l’essentiel, qui est que l’énergie, dans les civilisations industrielles, joue un rĂŽle physique central qui n’est pas du tout reflĂ©tĂ© par sa part dans les dĂ©penses. Physique, vous avez dit physique ? De fait, avant d’ĂȘtre un montant sur une facture, l’énergie a une dĂ©finition scientifique il s’agit de la grandeur qui caractĂ©rise un changement d’état d’un systĂšme. Bigre ! Voici bien des mots compliquĂ©s ! En fait c’est trĂšs simple cela ne dit rien d’autre que le fait que dĂšs que le monde qui nous entoure = un systĂšme » change, de l’énergie entre en jeu, et la mesure de cette Ă©nergie mesure le degrĂ© de transformation entre avant et aprĂšs. Si nous regardons autour de nous, nous constaterons que, en effet, dĂšs qu’il se passe quelque chose » quelque part de l’énergie intervient un changement de tempĂ©rature consomme ou restitue de l’énergie. C’est cette Ă©nergie-lĂ  que nous utilisons pour chauffer ou refroidir une piĂšce, ou un aliment, ou l’eau d’une douche celle-lĂ  on la refroidit rarement !, etc. De mĂȘme, toutes les machines industrielles qui cuisent, stĂ©rilisent, chauffent ou refroidissent utilisent donc de l’énergie, un changement d’état de la matiĂšre passer de l’état gazeux Ă  l’état liquide, ou encore de l’état liquide Ă  l’état solide, que les physiciens appellent Ă©galement changement de phase, utilise ou restitue de l’énergie, qui s’appelle de la chaleur latente. Notre corps utilise cette Ă©nergie pour se refroidir c’est la transpiration, qui consiste Ă  Ă©vaporer de l’eau issue de notre sĂ©rum c’est pour cela que la transpiration est salĂ©e, et que par ailleurs elle nous dĂ©shydrate. Les machines de froid rĂ©frigĂ©rateurs, congĂ©lateurs, et leur symĂ©trique », les pompes Ă  chaleur, utilisent la chaleur latente de condensation et d’évaporation pour transporter des calories. Et tous les processus industriels qui fondent il y en a un paquet, surtout dans la production des matĂ©riaux de base ou Ă©vaporent la matiĂšre consomment donc cette Ă©nergie. un changement de vitesse d’un corps consomme ou utilise de l’énergie. Mettre en mouvement voitures, camions, trains et avions utilise environ 20% de l’énergie que nous consommons en France, un changement de composition chimique, selon les cas, fournit de l’énergie ou en consomme. Une combustion, par exemple, est une transformation chimique qui fournit de l’énergie, en associant de l’oxygĂšne aux atomes initiaux, et Ă  l’inverse toute action de rĂ©duction le fait d’enlever de l’oxygĂšne d’un composĂ© qui en comporte, comme par exemple un oxyde mĂ©tallique en consomme. Modifier une composition chimique consomme de 10 Ă  15% de l’énergie mondiale. L’industrie chimique qui, Ă  partir de ressources naturelles air, eau, minerais, sous-produits pĂ©troliers, etc, fabrique d’autres molĂ©cules des centaines de milliers !, consomme 7% Ă  8% de l’énergie mondiale pour forcer » des rĂ©actions chimiques qui n’ont pas envie de se produire toutes seules. La mĂ©tallurgie de base aciĂ©rie et production de mĂ©taux non ferreux consomme quant Ă  elle environ 5% de l’énergie mondiale, essentiellement pour rĂ©duire les oxydes qui composent les minerais. faire apparaĂźtre ou disparaĂźtre du rayonnement fait aussi intervenir de l’énergie. Par exemple, une partie de l’énergie libĂ©rĂ©e par la fusion des noyaux dans le soleil est transformĂ©e en rayonnement, qui transporte l’énergie jusqu’à la Terre, oĂč il est pour une large partie absorbĂ© et chauffe notre planĂšte. 100% de l’énergie renouvelable hors gĂ©othermie et Ă©nergie marĂ©motrice, cette derniĂšre Ă©tant dĂ©rivĂ©e de l’attraction universelle nous parvient donc sous forme de rayonnement et mĂȘme pĂ©trole, gaz et charbon sont des stocks de rayonnement fossile » !. C’est l’énergie du rayonnement qui transporte l’information permettant Ă  la radio, la tĂ©lĂ©vision, le tĂ©lĂ©phone portable ou le wifi de fonctionner, mĂȘme si les quantitĂ©s d’énergie associĂ©es ne sont pas considĂ©rables. Le micro-onde qui rĂ©chauffe nos aliments ou le laser qui dĂ©coupe les tissus utilisent aussi cette Ă©nergie ! changer une forme fait intervenir de l’énergie. La presse Ă  emboutir et l’éplucheur Ă  lĂ©gumes ont tous deux vocation Ă  changer une forme dĂ©former une tĂŽle dans le premier cas, sĂ©parer un objet en deux morceaux dans le second, et de l’énergie est nĂ©cessaire pour les mettre en mouvement notre bras suffit pour le second !. Toutes les machines industrielles ou plus rarement domestiques qui tordent, vissent, emboutissent, alĂšsent, Ă©crasent, Ă©tirent, filent, rapent, dĂ©coupent, et j’en passe, ont donc besoin d’énergie. dĂ©placer une masse dans un champ gravitationnel fait intervenir de l’énergie ; c’est la pesanteur ». C’est contre cette Ă©nergie que nous luttons lors d’une ascension en montagne, et c’est cette Ă©nergie qui nous entraĂźne vers le bas de la pente Ă  vĂ©lo. A chaque fois que nous utilisons le poids » d’un objet, en fait c’est l’énergie gravitationnelle que nous exploitons. Or on ne compte plus les dispositifs qui utilisent des poids ou contrepoids, Ă  commencer par la balance du marchĂ© ! faire interagir du courant et un champ magnĂ©tique consomme ou libĂšre de l’énergie, selon le cas. Quand on amĂšne le courant au sein du champ magnĂ©tique et que l’on rĂ©cupĂšre du mouvement, c’est un moteur Ă©lectrique, et il y en a dĂ©sormais partout dans notre univers. Il y en a dans la distribution d’eau, les Ă©gouts, le fonctionnement des ordinateurs, les appareils de froid, les ascenseurs et monte-charge, les trains, les auxiliaires domestiques l’électro-mĂ©nager, les pompes Ă  essence, les dĂ©marreurs de voiture, les lignes d’assemblage industrielles, les compresseurs, les grues
 Quand on amĂšne le mouvement pour rĂ©cupĂ©rer le courant, c’est un alternateur, que l’on trouve dans toute centrale Ă©lectrique
 et dans toute voiture. toucher Ă  la composition du noyau des atomes fait intervenir de l’énergie c’est l’énergie nuclĂ©aire. Cette Ă©nergie intervient dans la radioactivitĂ©, la fusion, et la fission. Toutes les formes d’énergie disponibles sur terre sont des dĂ©rivĂ©s directs ou indirects de l’énergie nuclĂ©aire l’énergie solaire a une origine nuclĂ©aire la fusion dans le soleil, et avec elle tout ce qui en dĂ©coule hydroĂ©lectricitĂ© cycle de l’eau, vent, solaire direct, biomasse, Ă©nergie des ocĂ©ans, etc ; les combustibles fossiles sont de l’énergie solaire ancienne, donc du vieux nuclĂ©aire », la gĂ©othermie provient de la chaleur libĂ©rĂ©e par 4 milliards d’annĂ©es de radioactivitĂ© naturelle des matĂ©riaux composant le cƓur de la planĂšte, etc. L’énergie nuclĂ©aire Ă©tant extrĂȘmement intense fissionner un gramme d’uranium libĂšre autant d’énergie que de brĂ»ler une tonne de pĂ©trole les hommes ne l’ont mise en oeuvre que dans des applications en nombre limitĂ© production Ă©lectrique, bombes hĂ©las, et radiothĂ©rapie la radioactivitĂ© du cobalt 60 est utilisĂ©e pour bombarder les cellules cancĂ©reuses, pour l’essentiel. Au risque de se rĂ©pĂ©ter, la conclusion de tout ce qui prĂ©cĂšde est qu’il ne peut rien se passer » dans notre univers sans que de l’énergie entre en jeu. Plus la modification est ample, et plus, par dĂ©finition, il y a de l’énergie qui intervient. Cette Ă©nergie, nous ne pouvons pas toujours l’utiliser avec notre propre corps. Ce dernier sait convertir en chaleur, ou en Ă©nergie mĂ©canique l’énergie de la biomasse via notre alimentation, mais nous ne buvons pas de pĂ©trole ni ne mangeons de charbon. Pour utiliser ces Ă©nergies modernes » il faut recourir Ă  une machine qui, elle, saura en tirer profit. Et des machines, nous en utilisons de plus en plus, pour effectuer de plus en plus de transformations de toute nature dont nous cherchons Ă  tirer profit. Plus prĂ©cisĂ©ment l’humanitĂ© a utilisĂ© de plus en plus d’énergie alimentant des machines pour extraire Ă©nergie mĂ©canique, transformer Ă©nergie chimique, travailler Ă©nergie mĂ©canique, et dĂ©placer Ă©nergie du mouvement les ressources minĂ©rales ou biologiques qui composent les objets de toute nature que nous avons Ă  notre disposition, y compris les gros » objets comme les immeubles, voitures, usines, infrastructures, etc nous avons utilisĂ© de plus en plus d’énergie pour mettre en mouvement les machines Ă  transporter automobiles, camions, trains, avions, bateaux une fois construites, nous avons utilisĂ© de plus en plus d’énergie pour chauffer ou refroidir les espaces coupĂ©s de l’environnement extĂ©rieur » que nous avons construit les bĂątiments de toute nature C’est cette augmentation des machines au service de chacun que nous allons en fait retrouver dans l’augmentation de la consommation d’énergie par personne ». Evolution de la consommation d’énergie par personne, en moyenne mondiale, depuis 1860, bois inclus mais ce dernier n’alimente quasiment jamais une machine industrielle ou un vĂ©hicule. L’axe vertical est graduĂ© en kWh ; un terrien dispose donc, en moyenne, d’un peu plus de kWh par an en comparaison l’énergie mĂ©canique fournie par son propre corps est de l’ordre de 100 kWh par an. On note trois temps dans l’évolution ci-dessus jusqu’en 1979 2Ăš choc pĂ©trolier, la quantitĂ© d’énergie par personne est fortement croissante, aprĂšs elle est quasi-constante jusqu’au dĂ©but des annĂ©es 2000, Et enfin elle remonte » au courant des annĂ©es 2000, pendant la pĂ©riode de trĂšs forte croissance
 qui a surtout concernĂ© les pays Ă©mergents, et s’est faite au charbon », Ă©nergie qui dans ces pays se place globalement devant le pĂ©trole, mais cette hausse s’arrĂȘte Ă  nouveau au milieu des annĂ©es 2000, juste avant la crise financiĂšre » Compilation de l’auteur sur sources primaires Shilling et al. 1977, BP Statistical Review 2019, Smil 2019. A cause de ce qui est exposĂ© ci-dessus, il est facile de comprendre que le systĂšme productif – et donc l’économie – dĂ©pend fortement de l’énergie l’économie, ce n’est qu’un gros systĂšme Ă  transformer des ressources, prenant dans la nature minĂ©raux, vĂ©gĂ©taux, gaz, liquides, etc, et les transformant en autre chose ». Or puisque toute transformation s’accompagne de l’utilisation d’énergie, il paraĂźt logique que la production en sortie soit largement dĂ©pendante de l’énergie que l’on met dans le systĂšme en entrĂ©e. Cette Ă©nergie peut soit venir des hommes nos muscles, soit des machines. Or un rapide calcul montre qu’un homme ne peut fournir, au maximum, que 100 kWh de travail mĂ©canique dans une annĂ©e en utilisant ses bras et ses jambes. Ce que dit le graphique ci-dessus est donc que pĂ©trole, gaz et charbon ont permis aux hommes de multiplier par plusieurs centaines leur action sur l’environnement, en ordre de grandeur et en moyenne. En France, oĂč la consommation d’énergie est plutĂŽt de kWh par an en tenant compte de l’énergie de fabrication des biens importĂ©s, le multiple serait plutĂŽt de l’ordre de 500. ReprĂ©sentation schĂ©matique des flux qui pilotent notre systĂšme productif. Le systĂšme productif n’est qu’une Ă©norme machine Ă  transformer des ressources naturelles gratuites dans notre reprĂ©sentation Ă©conomique conventionnelle, et donc qui ne peuvent manquer par dĂ©finition, avec du travail donc de l’énergie qui est fourni pour une petite partie par nos muscles qui utilisent des aliments, et pour l’essentiel en fait pour 200 fois plus en moyenne mondiale, en 500 fois plus pour les français par des machines, qui utilisent de l’énergie. La productivitĂ© du travail », c’est essentiellement combien d’énergie pour machines nous avons par bonhomme
. La crĂ©ation de capital n’est qu’une boucle de rĂ©troaction interne au systĂšme, constituĂ©e de ressources et de travail passĂ©s je n’ai rien inventĂ©, c’est exactement comme cela que le capital Ă©tait traitĂ© physiquement » dans le rapport du Club de Rome . On comprend bien, avec ce schĂ©ma, que si nous avons plein de capital et plein de travail, mais pas d’énergie, nous n’aurons pas de production significative ! Dit autrement, ce qui fait fonctionner la machine industrielle mondiale, c’est avant tout l’énergie, et non avant tout le travail des hommes. Comme le tertiaire est assis » sur l’industrie, et ne fonctionne pas Ă  cĂŽtĂ© » sans en dĂ©pendre, du coup cela signifie que l’énergie est le vĂ©ritable moteur de la civilisation industrielle, bien avant nos bras et nos jambes, qui ne sont lĂ  que pour actionner des manettes et des interrupteurs, bref ce qui libĂšre la force brute de l’énergie ! Il est donc logique que la contrepartie Ă©conomique de notre production, traditionnellement mesurĂ©e par le PIB, varie comme la consommation d’énergie – c’est Ă  dire la quantitĂ© de machines au travail – bien avant de varier comme la population – c’est Ă  dire la quantitĂ© d’hommes au travail. Evolution comparĂ©e, depuis 1960, du PIB mondial courbe bleue, en anglais PIB se dit GDP, et de la consommation mondiale d’énergie, hors bois courbe verte, attention il s’agit de kWh, pas de prix !. Ce qui est reprĂ©sentĂ© pour chaque annĂ©e est le pourcentage de variation par rapport Ă  l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente. Il est facile de constater que les deux Ă©voluent quasiment de concert. Il est aussi intĂ©ressant de noter qu’en 1980, 1989, 1997, et 2005 la variation Ă  la baisse sur l’énergie a prĂ©cĂ©dĂ© – de peu, certes – celle sur le PIB. Compilation de l’auteur sur sources primaires BP statistical review, 2019, et Banque Mondiale PIB, 2019 PIB mondial en milliards de dollars constants de 2018 axe vertical en fonction de la consommation d’énergie mondiale en millions de tonnes Ă©quivalent pĂ©trole axe horizontal, pour les annĂ©es 1965 Ă  2018. La corrĂ©lation entre les deux grandeurs apparaĂźt clairement, avec une petite rupture de pente aprĂšs 1979. Compilation de l’auteur sur sources primaires BP statistical review, 2019, et Banque Mondiale PIB, 2019. Il est intĂ©ressant de constater que si on essaie de corrĂ©ler le PIB mondial non point au volume d’énergie disponible, mais Ă  son prix, alors il n’y a aucun lien ! PIB mondial en milliards de dollars constants de 2018 axe vertical en fonction du prix du baril en dollars constants de 2018 axe horizontal, pour les annĂ©es 1960 Ă  2018. Il n’y a pas de corrĂ©lation le PIB peut monter avec un prix qui baisse, mais aussi avec un prix qui monte, et de 2008 Ă  2009 il est descendu avec un prix du pĂ©trole
 qui est descendu aussi. Rappelons que le commerce international en gĂ©nĂ©ral, et celui du pĂ©trole en particulier, est un jeu Ă  somme nulle si le pĂ©trole vaut plus cher l’importateur paye plus, mais l’exportateur encaisse plus. Compilation de l’auteur sur sources primaires BP statistical review, 2019 prix du pĂ©trole, et Banque Mondiale PIB, 2019 Comme, pour le moment, le pĂ©trole domine le systĂšme Ă©nergĂ©tique mondial de la tĂȘte et des Ă©paules, fournissant plus de 40% de la consommation d’énergie finale de l’humanitĂ©, et surtout qu’il conditionne le transport mondial qui en dĂ©pend Ă  98%, lequel conditionne la taille » de l’économie », la fluctuation du PIB par personne en l’espĂšce apparait comme encore plus ajustĂ©e sur celle du pĂ©trole disponible en volume. Variations respectives, depuis 1965, de la quantitĂ© de pĂ©trole produite donc consommĂ©e dans le monde pas du prix !, en violet, et du PIB par personne en moyenne mondiale, en bleu. Dans les deux cas de figure il s’agit de moyennes glissantes sur 3 ans. La corrĂ©lation du sens de la variation est parfaite, et celle de l’amplitude presque parfaite depuis 1986, avec un fait essentiel c’est la variation sur le pĂ©trole qui prĂ©cĂšde celle sur le PIB depuis 1996, et non l’inverse. Source des donnĂ©es BP Statistical Review, 2019, et World Bank, 2019, calculs de votre serviteur. PIB mondial en dollars constants axe vertical en fonction de la consommation mondiale de pĂ©trole en millions de tonnes Ă©quivalent pĂ©trole axe horizontal, pour les annĂ©es 1965 Ă  2018. Courbe verte 1965 Ă  1982 Courbe rouge 1983 Ă  2018. On voit que la corrĂ©lation est aussi forte pour la pĂ©riode post-1982 que pour la pĂ©riode prĂ©-1974 cela confirme que l’économie mondiale n’est pas moins dĂ©pendante du pĂ©trole, elle l’est au moins autant ! Compilation de l’auteur sur sources primaires BP statistical review, 2019 pĂ©trole, et Banque Mondiale PIB, 2019 Cela amĂšne Ă©videmment une question idiote que devient l’économie avec moins de pĂ©trole ? Puis-je consommer de plus en plus d’énergie ? Tout ce qui vient d’ĂȘtre exposĂ© ci-dessus est certes absolument passionnant, captivant, et pour tout dire haletant, mais si l’énergie est disponible sans limites, cela sera essentiellement utile pour les conversations de salon. L’économie dĂ©pend de l’énergie, fort bien, il n’y a qu’à avoir de plus en plus d’énergie pour avoir de plus en plus d’économie, et puis les retraites seront sauvĂ©es, et la cote politique des premiers ministres avec. Sauf que
 l’énergie a une caractĂ©ristique majeure, bien connue des physiciens elle ne peut ni se crĂ©er, ni se dĂ©truire, mais juste se transformer. Pour augmenter l’énergie utilisĂ©e par un systĂšme, il faut donc que cette Ă©nergie vienne de l’extĂ©rieur du systĂšme, car il est interdit que plus d’énergie » apparaisse dans ce systĂšme de maniĂšre spontanĂ©e. Un moteur ne crĂ©e » pas d’énergie mĂ©canique, il transforme en Ă©nergie mĂ©canique et en chaleur une Ă©nergie chimique prĂ©existante celle du carburant qui lui est apportĂ©e de l’extĂ©rieur. Dans le mĂȘme esprit, le carburant n’est pas apparu spontanĂ©ment dans le sol, mais il vient lui-mĂȘme de la transformation d’énergie solaire ancienne. Incidemment, quand on utilise le terme producteur d’énergie » pour parler d’un producteur d’électricitĂ©, ou Ă©ventuellement un producteur de pĂ©trole, c’est un demi-mensonge. On devrait dire transformateur d’énergie » pour un Ă©lectricien, et extracteur d’énergie » pour une compagnie pĂ©troliĂšre, car aucune activitĂ© humaine ne peut produire » une Ă©nergie qui n’existait pas auparavant ! Ce qui change, Ă  chaque transformation de l’énergie, est la qualitĂ© » de cette derniĂšre, caractĂ©risĂ©e par une notion que l’on appelle l’entropie, qui mesure le degrĂ© de dĂ©sordre » de l’énergie. Plus l’entropie augmente, et plus l’énergie est en dĂ©sordre », donc bas de gamme. Or chaque transformation augmente inexorablement l’entropie, en transformant une Ă©nergie haut de gamme » en Ă©nergie bas de gamme ». Le haut de l’échelle est occupĂ© par l’énergie mĂ©canique, et le bas de l’échelle est occupĂ© par la chaleur basse tempĂ©rature, et c’est pour cela que tout usage de l’énergie se termine toujours en chaleur, et qu’il est impossible de recrĂ©er du mouvement faible entropie Ă  partir de chaleur haute entropie pour la totalitĂ© de la chaleur entrant dans une machine thermique. Comme la physique nous interdit de crĂ©er de l’énergie, les hommes ne pourront donc jamais faire autre chose que de profiter d’une transformation d’une Ă©nergie qui se trouve dĂ©jĂ  dans la nature matiĂšres qui brĂ»lent bois, pĂ©trole, charbon, gaz, noyaux fissiles uranium, rayonnement dĂ©jĂ  prĂ©sent soleil, mouvement dĂ©jĂ  prĂ©sent vent, marĂ©es, chutes d’eau, etc. Du coup, nous ne pouvons pas consommer » plus d’énergie que ce qui se trouve dans la nature. Et si une Ă©nergie n’existe que suite Ă  une transformation par les hommes Ă©lectricitĂ©, hydrogĂšne
 elle n’est pas une source » d’énergie c’est juste une maniĂšre d’utiliser une autre Ă©nergie dĂ©jĂ  prĂ©sente dans la nature. Un deuxiĂšme Ă©lĂ©ment discrimine fortement les Ă©nergies Ă  notre disposition la puissance. Car nos usages industriels rĂ©clament non seulement beaucoup d’énergie disponible, mais plus encore beaucoup de puissance, c’est-Ă -dire que cette Ă©nergie soit disponible sur de trĂšs courts laps de temps. Une voiture d’une tonne qui roule Ă  100 km/h, cela reprĂ©sente environ 0,1 kWh d’énergie mĂ©canique. Ce n’est pas Ă©norme un homme ordinaire qui pĂ©dale comme un forcenĂ© est capable de fournir cette Ă©nergie en quelques heures un cycliste du tour de France en 10 fois moins de temps, mais nous n’avons pas tous ce genre de condition physique
. Mais ce qui nous intĂ©resse, c’est que notre voiture parvienne Ă  cette vitesse en quelques secondes, pas en quelques heures ! C’est une autre maniĂšre de dire que les seules sources qui nous intĂ©ressent, pour nos usages modernes », sont des sources concentrĂ©es, capable de fournir beaucoup de puissance. Et c’est lĂ  tout le dĂ©bat sur les Ă©nergies renouvelables, car le Soleil a beau nous envoyer chaque heure ce que nous consommons en une annĂ©e, cette Ă©nergie tombe sur toute la surface de la terre, avec peu de puissance par unitĂ© de surface. Concentrer » l’énergie renouvelable pour l’amener au niveau de puissance des Ă©nergies fossiles, c’est souvent lĂ  que se trouvera la difficultĂ©. Et aprĂšs ? Maintenant que les flux physiques qui crĂ©ent l’économie sont mis en mouvement par une Ă©nergie plusieurs centaines de fois supĂ©rieure Ă  celle de nos muscles, une hypothĂšse raisonnable est de considĂ©rer que notre Ă©conomie ne pourra pas croĂźtre plus vite que l’approvisionnement Ă©nergĂ©tique, aux gains d’efficacitĂ© prĂšs, mais ces derniers sont loin d’ĂȘtre massifs Ă  l’échelle de quelques dĂ©cennies. Cela est assez cohĂ©rent avec le fait que le pĂ©trole, qui domine le systĂšme Ă©nergĂ©tique de la tĂȘte et des Ă©paules le pĂ©trole reprĂ©sente 42% de l’énergie finale consommĂ©e dans le monde, est le meilleur indicateur avancĂ© de la conjoncture, loin devant les spĂ©culations des Ă©conomistes ! Si nous reprenons le graphique donnant la consommation d’énergie moyenne d’un individu depuis 1880, qui figure plus haut sur cette page, nous voyons qu’il y a eu deux temps bien distincts depuis le dĂ©but de la rĂ©volution industrielle jusqu’aux chocs pĂ©troliers, l’approvisionnement par personne augmente fortement, de 2,5% par an en moyenne, depuis 1980, et mĂȘme en incluant la forte croissance des 10 derniĂšres annĂ©es, la moyenne sur la pĂ©riode n’est que de 0,3% par an Pourcentage d’augmentation de la consommation d’énergie commerciale par personne donc hors bois, depuis 1870 moyenne glissante sur 10 ans. En bleu valeur annuelle ; En rouge moyenne pour la pĂ©riode 1860 – 1980 Ă  gauche, moyenne pour la pĂ©riode 1981 – 2018 Ă  droite. Il est facile de voir que les chocs pĂ©troliers ont marquĂ© une forte rupture sur la hausse moyenne, sur une pĂ©riode longue, de la consommation d’énergie par personne. Compilation de l’auteur sur sources primaires Shilling et al., BP statistical review, Nations Unies Population. Or l’analyse Ă©conomique du 20Ăš siĂšcle et du dĂ©but du 21Ăš montre aussi qu’il y a eu deux Ă©poques de 1880 Ă  1975, alors que l’énergie par personne croĂźt, la planĂšte ne connaĂźt que 1 crise Ă©conomique majeure, en 1929. depuis 1975, aprĂšs le changement de rythme de croissance, il y a une crise tous les 5 Ă  10 ans 1975, 1980, 1991, 2000, 2008, et 2012/2013 est aussi une pĂ©riode un peu chahutĂ©e dans l’OCDE. Cela semble en fait assez logique avec ce qui figure ci-dessus moins d’énergie = moins de capacitĂ© de transformation = moins de PIB qui ne fait que mesurer cette transformation quand elle s’opĂšre dans le cadre de l’économie marchande. Pour renforcer cette conclusion, nous pouvons appeler Ă  notre rescousse la rĂšgle de trois, qui, ici comme ailleurs, est toujours d’une Ă©tonnante actualitĂ© ! Pour cela, nous allons commencer par Ă©crire que le PIB mondial, que nous appellerons GDP, est Ă©gal Ă  lui-mĂȘme. GDP= GDP Jusque lĂ , nous devrions tous ĂȘtre d’accord ! Puis nous allons multiplier et diviser, Ă  droite, par la consommation mondiale d’énergie, appelĂ©e NRJ. GDP= \frac{GDP} {NRJ}\times{NRJ} Soit \text{\scriptsize{PIB mondial }}=\text{ \scriptsize{PIB produit par unite d'energie} }\times \text{ \scriptsize{Quantite d'energie consommee}} Le terme PIB produit par unitĂ© d’énergie » n’est rien d’autre que l’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique de l’économie plus l’économie est efficace en Ă©nergie », plus on peut produire de PIB pour une mĂȘme quantitĂ© d’énergie. Quand ce terme augmente, cela signifie que, pour une mĂȘme consommation de kWh, on peut produire plus de meubles, de paires de lunettes, de surgelĂ©s, de logements et de cafetiĂšres. Pour ce qui suit, nous allons ramener cette Ă©galitĂ© au PIB par personne, ce qui signifie que nous allons diviser des deux cĂŽtĂ©s par la population mondiale, appelĂ©e POP, pour obtenir ce qui suit \frac{GDP} {Pop}= \frac{GDP} {NRJ}\times \frac{NRJ} {Pop} Soit \text{\scriptsize{PIB par personne }}=\text{ \scriptsize{PIB produit par unite d'energie} }\times \text{ \scriptsize{Quantite d'energie consommee par personne}} Nous allons maintenant dĂ©river cette Ă©galitĂ© », ce qui signifie passer de l’égalitĂ© des termes Ă  l’égalitĂ© de la variation des termes dans le temps. En effet, quand deux termes sont Ă©gaux, alors par dĂ©finition leur variation dans le temps est Ă©gale ! Mais la petite subtilitĂ© dont nous allons profiter est que, quand chacun des termes ne change pas trop vite, la variation dans le temps d’un produit est Ă©gale, en premiĂšre approximation, Ă  la somme des variations. Dit autrement, si nous avons A = B*C, alors la variation de A dans le temps, notĂ©e %A, est en premiĂšre approximation Ă©gale Ă  %B+%C, pour %B et %C qui restent petits » quelques % par an satisfait Ă  cette condition. Si ma population augmente de 2% par an et la consommation d’énergie par personne augmente de 4% par an, la consommation d’énergie globale qui est le produit des deux termes prĂ©cĂ©dents augmente en premiĂšre approximation de 6% par an 4%+2% et non pas de 4%*2% ! De ce fait, si nous notons %A l’augmentation annuelle de A, nous pouvons Ă©crire \% \frac{GDP} {Pop}= \% \frac{GDP} {NRJ} + \% \frac{NRJ} {Pop} Le terme de gauche n’est rien d’autre que
 la croissance du PIB par personne. Cette Ă©quation signifie donc que \text{\scriptsize{Croissance du PIB par personne }}=\text{ \scriptsize{Augmentation annuelle de l'efficacite energetique du PIB} }+ \text{ \scriptsize{Augmentation annuelle de la consommation d'energie par personne}} Or nous venons de voir que la croissance du terme NRJ/POP est brusquement passĂ©e, en 1980, de 2% par an – pendant plus d’un siĂšcle – à
 quasiment zĂ©ro. Le terme GDP/NRJ, lui, croĂźt d’un peu moins de 1% par an depuis 1970, et ce rythme n’a pas Ă©tĂ© significativement modifiĂ© sur le long terme par les chocs pĂ©troliers. Dollars constants de PIB par kWh d’énergie primaire, moyenne mondiale. Ce que dit cette courbe est que pour produire un dollar de PIB en 2018 dans le monde il faut utiliser environ 30% d’énergie en moins qu’en 1965. Le terme GDP/NRJ, a donc progressĂ© d’un peu moins de 1% par an pendant cette pĂ©riode 0,8% par an pour ĂȘtre prĂ©cis !, mais on constate que sur les 15 derniĂšres annĂ©es la progression est trĂšs faible. Autant pour ceux qui disent que l’apparition d’Internet a permis de rendre l’économie plus douce » pour l’environnement pour le climat ce n’est pas vraiment le cas ! Source BP Statistical Review 2019 pour l’énergie, World Bank 2019 pour le PIB, division par votre serviteur. Dans le passĂ©, cette petite Ă©galitĂ© explique donc pourquoi le PIB par personne, en moyenne mondiale, est brusquement passĂ© de ≈3% de croissance par an avant 1980 ≈1% par an pour GDP/NRJ + ≈2% par an pour NRJ/POP Ă  ≈1% aprĂšs toujours 1% par an pour GDP/NRJ mais 0% par an pour NRJ/POP. Tout le reste dette croissante, chĂŽmage irrĂ©ductible, bulles spĂ©culatives Ă  rĂ©pĂ©tition peut se relier assez logiquement Ă  cette baisse rapide de la croissance du PIB par personne. Evolution du PIB par personne depuis 1960 courbe bleue, et moyenne sur trois pĂ©riodes courbe orange. La tendance de ce taux de croissance sur la pĂ©riode est aussi indiquĂ©e courbe verte pointillĂ©e. A la fin des Trente Glorieuses, la croissance du PIB est bien d’un peu plus de 3% par an en moyenne. Elle descend Ă  un peu plus de 1% par an jusqu’au nouveau choc de 2005, qui marque une nouvelle stabilisation de la quantitĂ© d’énergie par personne. Depuis, c’est 1% par an. Source World Bank 2019 ; moyenne calculĂ©e par l’auteur. Et pour plus tard ? Si l’avenir europĂ©en doit ĂȘtre fortement contraint question Ă©nergie, et il le sera, en particulier sur le pĂ©trole et le gaz, alors le terme NRJ/POP va devenir nĂ©gatif, et la rĂ©cession deviendra probablement un Ă©pisode rĂ©current normal du parcours Ă©conomique. Il n’est pas complĂštement sĂ»r que le systĂšme fonctionne de maniĂšre aussi simple. Mais il n’est pas complĂštement sĂ»r non plus que cet enchaĂźnement de cause Ă  effet ne soit pas le premier dĂ©terminant de l’économie future. Les corrĂ©lations observĂ©es sont suffisamment troublantes, et la thĂ©orie » comporte suffisamment d’élĂ©ments solides pour que l’on se prĂ©occupe un peu plus d’énergie future quand on parle d’économie future. Accessoirement, si cette relation est solide, construire une Ă©conomie dĂ©carbonĂ©e devient un vrai programme de sociĂ©tĂ©, puisque l’énergie a tout fait ! Enfin, si les mĂ©dias faisaient correctement leur travail, il serait impossible de faire prospĂ©rer auprĂšs du public des plans pour l’avenir qui supposent de violer dĂ©libĂ©rĂ©ment la loi de conservation de l’énergie ou qui supposent de violer dĂ©libĂ©rĂ©ment les faits scientifiques considĂ©rĂ©s comme acquis d’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale. Entre autres exemples, promettre aujourd’hui plus de pouvoir d’achat ou des retraites prĂ©servĂ©es, ce qui suppose plus de PIB, sans expliquer comment on rend cela compatible avec de moins en moins d’énergie, soit pour des problĂšmes d’approvisionnement, soit pour la sauvegarde d’un climat stable sans lequel il n’y a plus de retraitĂ©s ce qui rĂšgle le problĂšme !, devrait se heurter immĂ©diatement Ă  un tir nourri de questions incisives et factuelles. Je ne suis hĂ©las pas sĂ»r que la presse s’y emploie ! Articles Connexes Maisqu’est ce que cela signifie rĂ©ellement ? La production d’énergie nĂ©cessaire lors du travail musculaire. La rĂ©ponse rĂ©side dans la production d’énergie du corps. GĂ©nĂ©ralement, ce dernier utilise l’oxygĂšne et le sucre simple qui est Ă©galement connu sous le nom de glucose pour la production d’énergie. DĂšs que nous
Imaginez que vous ĂȘtes en train de vous entraĂźner et que vos muscles se mettent Ă  chauffer en faisant du spinning, de la danse ou un cours de fitness. Connaissez-vous cette sensation qui monte dans les muscles lorsque vous vous donnez Ă  fond dans un sport ? GĂ©nĂ©ralement, cette sensation de brĂ»lure et de douleur dans les groupes musculaires vous empĂȘchent de continuer. À quoi est due cette sensation de brĂ»lure ? Que se passe-t-il dans votre corps et qu’est-ce que cette douleur signifie ? Les experts conviennent que le lactate l’acide lactique est responsable des brĂ»lures de nos muscles. Mais qu’est ce que cela signifie rĂ©ellement ? La production d’énergie nĂ©cessaire lors du travail musculaire La rĂ©ponse rĂ©side dans la production d’énergie du corps. GĂ©nĂ©ralement, ce dernier utilise l’oxygĂšne et le sucre simple qui est Ă©galement connu sous le nom de glucose pour la production d’énergie. DĂšs que nous bougeons ou commençons notre entraĂźnement, l’oxygĂšne et le glucose sont sollicitĂ©s. GrĂące Ă  un processus chimique appelĂ© glycolyse, l’énergie est créée par la combustion d’oxygĂšne et de glucose pour effectuer une contraction musculaire. C’est de cette maniĂšre qu’on peut bouger librement ! L’acide lactique, responsable des brĂ»lures dans les muscles Cependant, un entraĂźnement sportif exige une quantitĂ© d’oxygĂšne tellement importante que le corps se trouve rapidement en dĂ©ficit de celui-ci. Alors, l’acide lactique se forme pour pallier Ă  ce manque. Cette molĂ©cule qui intervient en tant que source d’énergie temporaire est essentielle Ă  l’effort physique. Cependant, un excĂšs d’acide lactique en un court laps de temps provoque une sensation de fatigue et de brĂ»lure du muscle. La consĂ©quence ? On est fortement incitĂ© Ă  arrĂȘter notre activitĂ© Ă  cause de la douleur. Comment rĂ©duire le volume d’acide lactique dans les mucles ? Maintenant que vous comprenez le rĂŽle de l’acide lactique, voyons ensemble comment rĂ©duire le volume d’acide lactique et la douleur qui en dĂ©coule Bien s’hydrater une des premiĂšres choses que vous devez savoir, c’est que l’acide lactique est soluble dans l’eau. Cela veut donc dire que plus que vous buvez de l’eau, moins il est probable que vous ressentiez des courbatures. Or, pour rĂ©duire cette brĂ»lure, il faut boire avant, durant et aprĂšs l’entraĂźnement. Nous recommandons de boire au moins 2 litres d’eau par jour Prendre des respirations profondes un autre conseil pour rĂ©duire l’accumulation d’acide lactique dans les muscles, c’est de maintenir une respiration profonde. Comme mentionnĂ© ci-dessus, les courbatures sont causĂ©es par un manque d’oxygĂšne et de glucose. Or, pour fournir suffisamment d’oxygĂšne aux muscles pendant l’entraĂźnement physique, il est nĂ©cessaire de respirer profondĂ©ment. Prenez le temps de bien respirer par le nez et par la bouche ! Augmenter progressivement l’entraĂźnement physique finalement, une bonne façon pour Ă©viter la sensation de brĂ»lure, c’est de s’entraĂźner rĂ©guliĂšrement. En effet, vos muscles auront moins besoin de brĂ»ler de glucose avec l’habitude. Commencez par un ou deux entraĂźnements par semaine. DĂšs que votre corps se sent prĂȘt, augmentez la cadence Ă  3 ou 4. Bref, mĂȘme si l’acide lactique est inĂ©vitable lors d’un entraĂźnement intense, il est important de connaĂźtre ses limites. Écoutez ton corps et rĂ©duisez l’intensitĂ© de l’activitĂ© physique si la sensation de brĂ»lure commence Ă  ĂȘtre vraiment dĂ©sagrĂ©able. Vous ne voulez surtout pas crĂ©er des micro-dĂ©chirures traumatisme aux fibres musculaires pendant plusieurs jours. Maintenant que vous en savez plus sur ces douleurs musculaires, chez quel partenaire Urban Sports Club allez-vous faire monter l’acide lactique ? Pas encore membre ? DĂ©couvrez notre essai gratuit 👇
Ceconcept scientifique est apparu avec Aristote et a fortement Ă©voluĂ© au cours du temps. Aujourd’hui, l’énergie dĂ©signe « la capacitĂ© Ă  effectuer des transformations ». Par exemple, l’énergie c’est ce qui permet de fournir du travail, de produire un mouvement, de modifier la tempĂ©rature ou de changer l’état de la matiĂšre.
Pour qu’un muscle puisse se dĂ©velopper, il doit devenir plus fort et s’adapter en permanence Ă  des charges plus lourdes. InstallĂ© dans sa zone de confort, il n’a pas de raison de se renforcer et d’accroĂźtre ses performances. C’est en l’obligeant Ă  se dĂ©passer qu’il devient plus fort et par consĂ©quent plus volumineux. C’est l’ultime rĂ©pĂ©tition, faite avec toute l’énergie qui vous reste, qui est la rĂ©pĂ©tition la plus utile au dĂ©veloppement. Lors des sĂ©ances d’entraĂźnement, les rĂ©pĂ©titions prĂ©cĂ©dentes ne sont que le moyen d’arriver Ă  celle qui permet de progresser. DĂ©finition Dans le domaine de la musculation la notion de l’échec musculaire » est mal connue et souvent mal comprise. Pourtant Ă©lĂ©ment essentiel Ă  la progression, l’échec musculaire doit ĂȘtre un objectif permanent lors de vos entraĂźnements. Les bodybuilders confirmĂ©s affirment que les rĂ©pĂ©titions qui sont faites avec facilitĂ© ne servent qu’à atteindre celle qui est rĂ©alisĂ©e avec toute l’énergie qui reste au prix d’un effort extrĂȘme et que seule cette rĂ©pĂ©tition ultime compte. Que signifie aller jusqu’à l’échec »? Pour qu’un muscle soit mis dans les meilleures conditions de dĂ©veloppement, il faut qu’il soit sollicitĂ© de façon trĂšs intense. Il faut l’obliger Ă  s’adapter Ă  l’effort en lui demandant toujours plus. Si l’entraĂźnement manque d’intensitĂ© et que le muscle travaille dans sa zone de confort, c’est-Ă -dire qu’il ne subit pas un stress important qui l’oblige Ă  s’adapter, il n’y a pas de raison qu’il se dĂ©veloppe. C’est pour cela que chaque sĂ©rie doit ĂȘtre rĂ©alisĂ©e jusqu’à la rĂ©pĂ©tition ultime aprĂšs laquelle aucune rĂ©pĂ©tition supplĂ©mentaire n’est possible. Besoin de conseils de coach? Nombre de rĂ©pĂ©titions avant l’échec Comprendre la notion de l’ultime rĂ©pĂ©tition Ă©chec est important mais qu’en est-il du nombre de rĂ©pĂ©titions avant d’atteindre cet Ă©chec? Il est facile de comprendre que quelle que soit la charge Ă  un moment ou Ă  un autre vous ne pourrez plus accomplir une rĂ©pĂ©tition de plus. Mais est-ce utile d’atteindre l’échec au bout de 20, 30 ou 40 rĂ©pĂ©titions ? Sommes-nous toujours dans le bon schĂ©ma d’entraĂźnement qui permet la croissance musculaire ? Au mĂȘme titre que pour la course Ă  pied, le vĂ©lo ou la natation, tout sportif a ses limites et finira par ne plus pouvoir faire 10 mĂštres de plus. Si le simple fait d’aller toujours plus loin permettait de dĂ©velopper de la masse musculaire, les marathoniens seraient des athlĂštes hypertrophiĂ©s »  ! Cet exemple, un peu caricatural, permet de comprendre que la charge avec laquelle on obtient l’échec a aussi son importance. En effet, le catabolisme, qui est l’élĂ©ment le plus gĂ©nĂ©rateur de croissance musculaire, ne peut s’opĂ©rer qu’avec des charges lourdes. C’est lĂ  qu’interviennent la notion du 1 RM et du nombre de rĂ©pĂ©titions. Le 1 RM Travailler avec une charge qui correspond Ă  80 % de son 1 RM charge maximum avec laquelle on est capable de faire une seule rĂ©pĂ©tition permet de faire des sĂ©ries entre 8 et 12 rĂ©pĂ©titions. C’est dans cette fourchette que l’échec doit ĂȘtre obtenu pour gĂ©nĂ©rer un maximum de catabolisme et par consĂ©quent, le stress musculaire suffisant qui lui enverra le signal qu’il doit s’adapter se dĂ©velopper. Lisez ceci pour mieux comprendre le 1-RM. Faut-il aller jusqu’à l’échec musculaire? Les sĂ©ries Pyramidales, sĂ©ries DĂ©gressives et Super-SĂ©ries sont des techniques d’intensification efficaces. Elles gĂ©nĂšrent beaucoup de stress musculaire et beaucoup de fatigue. Par consĂ©quent, la rigueur est de mise pour ne pas gĂ©nĂ©rer de blessure. Pour les trois techniques, les sĂ©ries doivent ĂȘtre menĂ©es jusqu’à l’échec ! Il n’est pas question de se mĂ©nager sur les premiĂšres sĂ©ries pour arriver aux suivantes. Il est prĂ©fĂ©rable de travailler avec des charges moins lourdes et d’aller au bout de la technique plutĂŽt que se rĂ©server de l’énergie pour la suite. Cette technique est valable si on cherche Ă  prendre de la masse ou bien Ă  progresser tout simplement, en poussant les muscles au-delĂ  de leurs capacitĂ©s, bref de s’entraĂźner jusqu’à l’échec. En rĂ©sumĂ© Aller Ă  l’échec Ă  chaque sĂ©rie est essentiel pour dĂ©velopper de la masse musculaire. L’échec doit se rĂ©aliser dans la fourchette qui se situe entre 8 et 12 rĂ©pĂ©titions. Travailler Ă  80 % de son 1 RM permet de s’entraĂźner Ă  la bonne intensitĂ© et d’atteindre l’échec dans la bonne fourchette.
Commel’acupuncture, elle est un dĂ©rivĂ© de la mĂ©decine chinoise, et donc liĂ©e Ă  la croyance que le corps est rĂ©gi par un rĂ©seau de mĂ©ridiens qui vĂ©hiculent de l’énergie. MalgrĂ© sa rĂ©cente montĂ©e en popularitĂ©, les tests musculaires ne sont pas nouveaux, ayant Ă©tĂ© introduits pour la premiĂšre fois dans la culture occidentale au dĂ©but du 20e siĂšcle. Elle est liĂ©e Ă  la Table des matiĂšres Qu'est-ce que l'anabolisme musculaire ? Quel est le rĂŽle du catabolisme ? OĂč se dĂ©roule le catabolisme ? C'est quoi une voie anabolique ? Comment favoriser l'anabolisme ? C'est quoi le catabolisme musculaire ? Quelle diffĂ©rence entre anabolisme et catabolisme ? Quelle est la diffĂ©rence entre mĂ©tabolisme et catabolisme ? OĂč a lieu la proteolyse ? Quelles sont les voie mĂ©tabolique ? Quelle est la diffĂ©rence entre anabolisme catabolisme ? Comment booster la prise de muscle ? Comment lutter contre le catabolisme ? Comment faire pour rester en anabolisme ? OĂč se fait l'anabolisme ? Pourquoi Dit-on que le catabolisme est une rĂ©action exothermique ? Quels sont les diffĂ©rents types de mĂ©tabolisme ? C'est quoi le mĂ©tabolisme cellulaire ? Comment sont dĂ©gradĂ©es les protĂ©ines ? OĂč se fixe l'ubiquitine ? Qu'est-ce que l'anabolisme musculaire ? L'anabolisme sert Ă  la construction de la masse musculaire, Ă  fabriquer des tissus corporels et Ă  stocker l'Ă©nergie sous forme de glycogĂšne ou de triglycĂ©rides. Ce processus consomme de l'Ă©nergie, rĂ©cupĂ©rĂ©e sous forme d'ATP formĂ© au cours du catabolisme, la phase inverse de l'anabolisme. Quel est le rĂŽle du catabolisme ? Le catabolisme est la phase du mĂ©tabolisme au cours de laquelle des molĂ©cules relativement grosses et complexes sont dĂ©gradĂ©es en molĂ©cules plus petites et plus simples. Ce processus de dĂ©gradation gĂ©nĂšre de l'Ă©nergie sous forme de chaleur et d'ATP. OĂč se dĂ©roule le catabolisme ? Processus biochimiques de dĂ©gradation exoĂ©nergĂ©tiques subis par des molĂ©cules organiques dans les cellules vivantes pour aboutir au transfert d'une partie de leur Ă©nergie potentielle sur des molĂ©cules telles que l'acide d'adĂ©nosine triphosphorique ATP. C'est quoi une voie anabolique ? Voies anaboliques ce sont des voies qui convertissent des molĂ©cules prĂ©curseurs de faible poids molĂ©culaire, telles que le dioxyde de carbone, l'acĂ©tate ou le pyruvate, en molĂ©cules progressivement plus grandes et plus complexes telles que protĂ©ines, polysaccharides, lipides membranaires et acides nuclĂ©iques. Comment favoriser l'anabolisme ? Afin d'augmenter l'anabolisme, l'augmentation de la consommation de protĂ©ines est nĂ©cessaire, tout en rĂ©duisant les matiĂšres grasses. Ce sont les protĂ©ines qui nourrissent les muscles. On trouve de nombreuses protĂ©ines dans les viandes, les crustacĂ©s, les poissons, les Ɠufs et les produits laitiers. C'est quoi le catabolisme musculaire ? Dans le domaine de la musculation et du culturisme, le catabolisme est le fruit d'une sĂ©rie d'efforts physiques trĂšs intenses. On s'entraĂźne trop alors que l'organisme ne reçoit pas suffisamment les nutriments dont il a besoin pour supporter les efforts fournis. Quelle diffĂ©rence entre anabolisme et catabolisme ? L'anabolisme est l'ensemble des rĂ©actions chimiques de synthĂšse molĂ©culaire de l'organisme considĂ©rĂ©. Il est le contraire du catabolisme, ensemble des rĂ©actions de dĂ©gradation. Quelle est la diffĂ©rence entre mĂ©tabolisme et catabolisme ? Ces deux termes sont utilisĂ©s pour dĂ©terminer l'Ă©tat du mĂ©tabolisme. L'anabolisme synthĂ©tise les Ă©lĂ©ments nĂ©cessaires au bon fonctionnement des cellules. Le catabolisme, lui, extrait l'Ă©nergie de l'apport en nutriments. OĂč a lieu la proteolyse ? Ces enzymes sont localisĂ©es essentiellement Ă  l'intĂ©rieur des vĂ©sicules lysosomales qui incorporent par endocytose les protĂ©ines Ă  dĂ©grader. Elles agissent essentiellement sur les protĂ©ines intracellulaires Ă  demi-vie longue, sur les membranes cellulaires, et sur les protĂ©ines extra cellulaires. Quelles sont les voie mĂ©tabolique ? Une voie mĂ©tabolique est un ensemble de rĂ©actions chimiques catalysĂ©es par une sĂ©rie d'enzymes qui agissent de maniĂšre sĂ©quentielle. Chaque rĂ©action constitue une Ă©tape d'un processus complexe de synthĂšse ou de dĂ©gradation d'une molĂ©cule biologique finale. Quelle est la diffĂ©rence entre anabolisme catabolisme ? L'anabolisme est l'ensemble des rĂ©actions chimiques de synthĂšse molĂ©culaire de l'organisme considĂ©rĂ©. Il est le contraire du catabolisme, ensemble des rĂ©actions de dĂ©gradation. Comment booster la prise de muscle ? Pour une prise de muscle rapide, il est important de faire Ă©voluer les charges en fonction de vos progrĂšs en force ou de votre Ă©tat de forme. Par exemple, si vous travaillez rĂ©guliĂšrement le dĂ©veloppĂ© couchĂ© par sĂ©ries de 8 rĂ©pĂ©titions Ă  60 kg, au bout de quelques sĂ©ances, vous aurez plus de force. Comment lutter contre le catabolisme ? Comment Ă©vier le catabolisme ?Fractionner les repas. Afin de doter Ă  l'organisme une production d'Ă©nergie en continue, il faut essayer de fractionner les repas au lieu des les prendre en grande quantitĂ©. ... Manger aprĂšs les entraĂźnements. ... Eviter le surentraĂźnement. ... Eviter le catabolisme avec les complĂ©ments alimentaires. Comment faire pour rester en anabolisme ? Afin d'augmenter l'anabolisme, l'augmentation de la consommation de protĂ©ines est nĂ©cessaire, tout en rĂ©duisant les matiĂšres grasses. Ce sont les protĂ©ines qui nourrissent les muscles. On trouve de nombreuses protĂ©ines dans les viandes, les crustacĂ©s, les poissons, les Ɠufs et les produits laitiers. OĂč se fait l'anabolisme ? Le mĂ©tabolisme, c'est-Ă -dire l'ensemble des rĂ©actions qui interviennent dans l'organisme pour assurer son fonctionnement, est constituĂ© de deux grands phĂ©nomĂšnes l'anabolisme et le catabolisme. L'anabolisme se produit au moment de la digestion. Pourquoi Dit-on que le catabolisme est une rĂ©action exothermique ? Les rĂ©actions fortement exothermiques en chimie Une rĂ©action chimique qui libĂšre de l'Ă©nergie est dite exothermique. Dans ce cas, l'Ă©nergie dĂ©gagĂ©e par la formation de liaisons pour former les produits des rĂ©actions est supĂ©rieure Ă  celle nĂ©cessaire pour briser les liaisons. Quels sont les diffĂ©rents types de mĂ©tabolisme ? Deux mĂ©canismes opposĂ©s constituent le mĂ©tabolisme. Le premier est le catabolisme servant Ă  extraire l'Ă©nergie des nutriments. Le second est le mĂ©tabolisme cellulaire il s'agit des effets anaboliques, dus Ă  des rĂ©actions de synthĂšse des Ă©lĂ©ments constitutifs indispensables Ă  la structure et Ă  l'activitĂ© des cellules. C'est quoi le mĂ©tabolisme cellulaire ? Le mĂ©tabolisme dĂ©finit l'ensemble des rĂ©actions couplĂ©es se produisant dans les cellules de l'organisme. Il est constituĂ© de deux mĂ©canismes opposĂ©s ... l'anabolisme il permet de synthĂ©tiser les constituants nĂ©cessaires Ă  la structure et au bon fonctionnement des cellules. Comment sont dĂ©gradĂ©es les protĂ©ines ? Les protĂ©ines sont continuellement renouvelĂ©es, ce qui implique des processus permanents de synthĂšse et de dĂ©gradation protĂ©olyse. ... Les protĂ©ines sont dĂ©gradĂ©es en acides aminĂ©s dont 75% sont rĂ©utilisĂ©s pour une synthĂšse de novo. 25% sont donc Ă©liminĂ©s sous forme d'urĂ©e. OĂč se fixe l'ubiquitine ? Il faut au moins quatre molĂ©cules d'ubiquitine fixĂ©e Ă  la protĂ©ine pour que celle-ci soit adressĂ©e au protĂ©asome et dĂ©gradĂ©e. E1 fixe l'ubiquitine; E1-Ubiquitine se fixe sur E2 puis transfĂšre l'ubiquitine sur E2; E2-Ubiquitine se fixe sur E3. LesĂ©nergies renouvelables (parfois abrĂ©gĂ©es EnR) sont des sources d'Ă©nergie dont le renouvellement naturel est assez rapide pour qu'elles puissent ĂȘtre considĂ©rĂ©es comme inĂ©puisables Ă  l'Ă©chelle du temps humain. Elles proviennent de phĂ©nomĂšnes naturels cycliques ou constants induits par les astres : le Soleil essentiellement pour la chaleur et la lumiĂšre qu'il GĂ©nĂ©ralement, la musculation est une question d’assiduitĂ©, de motivation et de persĂ©vĂ©rance. NĂ©anmoins, bon nombre d’entre nous sont impatients et souhaitent obtenir des rĂ©sultats le plus rapidement possible. Alors, est-il possible de gagner de la masse musculaire en peu de temps ? Je tiens Ă  vous rassurer dĂšs le dĂ©part que la rĂ©ponse est affirmative. Afin de vous aider Ă  y arriver, je vous propose cet article s’étalant sur les exercices de musculation Ă  effectuer ainsi que quelques conseils avisĂ©s. Se muscler le corps rapidement en salle ou Ă  la maison ?Quelques exercices incontournables pour prendre du muscle rapidement en salle de sportLes exercices Ă  rĂ©aliser chez soi pour se muscler le corps rapidementQuelques conseils Ă  suivre Se muscler le corps rapidement en salle ou Ă  la maison ? Il s’agit d’une question qui revient souvent lorsque nous Ă©voquons la musculation. S’entraĂźner Ă  la maison ou Ă  la salle possĂšde son lot d’avantages et d’inconvĂ©nients, et je voudrais vous proposer un petit comparatif. S’entraĂźner en salle ou Ă  la maison En allant Ă  la salle, vous disposez de tout un arsenal de matĂ©riel spĂ©cialement dĂ©diĂ© Ă  la musculation. Vous pouvez cibler chaque muscle avec prĂ©cision et obtenir un rendement maximal en utilisant les bons appareils et accessoires. Vous pouvez Ă©galement faire appel Ă  l’assistance d’un coach qui vous guidera dans vos mouvements. Par contre, aller Ă  la salle vous oblige Ă  disposer de beaucoup de temps libre et l’abonnement est payant. En vous entraĂźnant Ă  la maison, vous jouissez d’une entiĂšre libertĂ© au niveau de votre temps. En effet, vous pouvez ajuster vos sĂ©ances en fonction de votre emploi du temps. Vous n’avez Ă©galement Ă  rĂ©aliser aucun investissement, Ă©tant donnĂ© que les exercices sont relativement faciles et peuvent s’exĂ©cuter sans matĂ©riel de musculation. Par contre, vous avez plus de chances de fausser vos mouvements, ce qui influera nĂ©gativement sur les rĂ©sultats. En rĂ©sumĂ©, je donne un lĂ©ger avantage Ă  la musculation en salle si vous souhaitez obtenir des rĂ©sultats rapidement. En plus d’ĂȘtre plus motivĂ©, vous disposez d’une assistance et d’un matĂ©riel hautement sophistiquĂ©. Quelques exercices incontournables pour prendre du muscle rapidement en salle de sport Dans un premier temps, je vais vous prĂ©senter quelques exercices Ă  inclure impĂ©rativement dans votre programme d’entrainement en salle de sport si vous souhaitez vous muscler rapidement. Ils nĂ©cessitent tous l’utilisation de matĂ©riel spĂ©cifique disponible en salle. Le dĂ©veloppĂ© couchĂ© Le dĂ©veloppĂ© couchĂ© est l’exercice de prĂ©dilection pour se muscler rapidement les pectoraux. Il s’agit d’un exercice poly-articulaire sollicitant les principaux muscles de la poitrine, dont le grand pectoral. Allongez-vous sur un banc horizontal de musculation, prenez la barre lestĂ©e de charges, les mains en pronation et Ă©cartĂ©es Ă  la largeur des Ă©paules. Inspirez et descendez la barre de maniĂšre contrĂŽlĂ©e jusqu’au niveau de votre poitrine. Expirez en montant lentement. L’écartement des mains et l’orientation de vos coudes va cibler des muscles diffĂ©rents. Par exemple, avec une prise Ă©troite, vous sollicitez davantage la partie centrale des pectoraux. Une prise large vise la partie externe. Le dĂ©veloppĂ© couchĂ© Le squat dans une cage Le squat est un exercice particuliĂšrement efficace pour travailler diffĂ©rents muscles, dont les fessiers, les cuisses et les jambes. En salle, il est souvent pratiquĂ© avec la barre lestĂ©e de charges relativement lourdes. Le squat est particuliĂšrement apprĂ©ciĂ© des femmes pour son efficacitĂ© Ă  muscler rapidement le bas du corps. Pour le rĂ©aliser, privilĂ©giez la cage Ă  squat qui est munie d’un guide pour dĂ©placer la barre chargĂ©e. Cela vous permettra de rĂ©aliser le mouvement sans ĂȘtre assistĂ©. Pour effectuer le mouvement, installez-vous au milieu de la cage. Placez la barre au niveau des muscles trapĂšzes et tenez-la avec vos mains en prise large. Ecartez les pieds sur la largeur des Ă©paules et maintenez-les Ă  plat sur le sol. Cambrez le haut du dos de façon Ă  ce que vos fesses soient dirigĂ©es vers l’arriĂšre. Puis, flĂ©chissez les genoux et descendez jusqu’à ce que les cuisses soient parallĂšles au sol en contractant les abdominaux. Remontez ensuite jusqu’à la position de dĂ©part. Squat dans une cage Le curl Ă  la barre Le curl Ă  la barre permet de se muscler les bras rapidement. Il fait travailler principalement les biceps, mais les flĂ©chisseurs des poignets et des doigts sont Ă©galement sollicitĂ©s. La barre EZ est la mieux recommandĂ©e dans ce genre d’exercice. Tenez-la en supination paumes des mains vers le haut. Ecartez les mains lĂ©gĂšrement plus largement par rapport aux Ă©paules. Mettez-vous debout et flĂ©chissez lĂ©gĂšrement les genoux, les pieds Ă©tant parallĂšles et le buste lĂ©gĂšrement penchĂ© en avant. Au dĂ©but du mouvement, la barre est situĂ©e au niveau de vos cuisses, les bras presque entiĂšrement tendus et les coudes prĂšs du corps. Pliez les coudes et montez la barre jusqu’à hauteur de vos Ă©paules. Les coudes doivent rester collĂ©s au flanc. Une fois en position haute, bloquez le mouvement pendant 1 seconde en contractant les biceps au maximum. Revenez Ă  la position initiale en contrĂŽlant toujours votre mouvement. Le curl Ă  la barre Les tractions Les tractions sont des ensembles d’exercices rĂ©alisĂ©s sur des barres de traction. Elles sont gĂ©nĂ©ralement effectuĂ©es au poids de corps et ciblent les muscles du haut du corps, notamment le dos, les abdominaux, les Ă©paules et les bras. Les tractions sont rĂ©putĂ©es ĂȘtre parmi les exercices les plus difficiles Ă  rĂ©aliser. D’ailleurs, peu de sportifs dĂ©butants optent pour ces exercices Ă  cause de cela. Par contre, si elles sont bien rĂ©alisĂ©es, elles sont extrĂȘmement efficaces pour se muscler rapidement. La façon de s’agripper Ă  la barre de traction influe sur les muscles visĂ©s. Une prise en supination ou chin up fait travailler les muscles dorsaux, les pectoraux, les trapĂšzes et les rhomboĂŻdes. Une prise en pronation ou pull up sollicite les muscles des pectoraux, les biceps, et les trapĂšzes. En vous maintenant immobile pendant un certain temps traction isomĂ©trique, vous faites appel principalement aux biceps. Les tractions Le soulevĂ© de terre Le soulevĂ© de terre est un exercice dĂ©diĂ© Ă  se muscler rapidement le dos, les fessiers, les ischio-jambiers, les quadriceps et les muscles lombaires. Il consiste Ă  soulever une barre lestĂ©e de charges et qui est posĂ©e au sol. Pour ce faire, la barre est saisie Ă  bras tendus, les pieds Ă©cartĂ©s sur la largeur des Ă©paules et avec le regard horizontal, vers l’avant. Il faut garder le dos droit sans l’arrondir ni le cambrer. Seuls les fessiers et les cuisses sont sollicitĂ©s pour soulever la barre. Lorsqu’elle arrive au niveau des genoux, contractez au maximum ces muscles ainsi que ceux du dos pour vous redresser complĂštement. Redescendez ensuite de maniĂšre contrĂŽlĂ©e. La prise peut se faire en pronation ou en supination. SoulevĂ© de terre Les dips aux barres parallĂšles Les dips exĂ©cutĂ©s aux barres parallĂšles sont aussi une autre catĂ©gorie d’exercices particuliĂšrement difficiles. NĂ©anmoins, avec de la volontĂ©, vous pouvez dĂ©velopper trĂšs rapidement les triceps et les pectoraux. Cet exercice consiste Ă  vous dresser sur les barres parallĂšles et Ă  effectuer des mouvements de montĂ©e et de descente en vous servant uniquement de la force de vos bras. Il faut Ă©viter de vous basculer pour ne pas prendre de l’élan dans vos mouvements. Contractez les abdominaux pour rĂ©duire cet effet de basculement. Les dips sur barres parallĂšles Les exercices Ă  rĂ©aliser chez soi pour se muscler le corps rapidement Maintenant, je vais vous proposer les meilleurs exercices Ă  rĂ©aliser Ă  la maison pour vous muscler rapidement. Ces exercices ont la particularitĂ© d’ĂȘtre faciles Ă  exĂ©cuter et ne nĂ©cessitent aucun matĂ©riel. Les pompes Les pompes permettent de solliciter les muscles des pectoraux et des triceps. Allongez-vous, face contre le sol Seules les paumes des mains et les pointes des pieds touchent le sol. Dans la position de dĂ©part, vos bras sont complĂštement tendus, votre dos et votre partie infĂ©rieure sont alignĂ©s. Descendez ensuite lentement le plus bas possible, puis remontez vers la position de dĂ©part. Effectuez le mouvement de nombreuses fois. Pour les dĂ©butants, placez les genoux au sol et alignez le dos et les cuisses durant le mouvement. Faire des pompes Les squats Il s’agit du mĂȘme exercice que celui rĂ©alisĂ© en salle, mais sans utiliser la cage Ă  squat. Il vous suffit de vous tenir debout, jambes Ă©cartĂ©es Ă  la largeur des Ă©paules et les pointes des pieds lĂ©gĂšrement dirigĂ©es vers l’extĂ©rieur. Tendez vos bras devant vous. Pour commencer le mouvement, flĂ©chissez vos genoux et poussez vos fesses vers l’arriĂšre. Ne vous arrĂȘtez que lorsque vos cuisses soient parallĂšles au sol. Remontez ensuite lentement jusqu’à la position initiale. A la fin du mouvement, contractez vos fessiers pour les faire travailler au maximum. Le squat Les fentes avant Les fentes avant sont Ă©galement trĂšs efficaces pour vous muscler rapidement les cuisses et les fessiers. Pour rĂ©aliser l’exercice, mette-vous debout, les jambes lĂ©gĂšrement Ă©cartĂ©es. Votre dos doit ĂȘtre droit. Faites un grand pas en avant de sorte que le pied dĂ©placĂ© en avant forme un angle droit au niveau du genou. Vous devriez sentir une tension au niveau de la cuisse de votre jambe gardĂ©e en arriĂšre, ainsi qu’au niveau des fessiers. Revenez Ă  la position initiale, puis passez Ă  l’autre jambe. Fentes avant Les dips Il est aussi possible de rĂ©aliser des dips chez vous sans faire appel Ă  la barre parallĂšle. En effet, il vous suffit de prendre un support stable tel qu’une chaise sur lequel vos mains seront en appui durant le mouvement. Placez la chaise derriĂšre vous, mettez-vos mains en arriĂšre et posez les paumes de vos mains sur l’extrĂ©mitĂ© de la chaise. Tendez vos jambes et maintenez votre dos droit sans le cambrer. FlĂ©chissez vos coudes de sorte que vos fesses se rapprochent du sol. Ne vous arrĂȘtez que lorsque vos bras soient parallĂšles au sol. Remontez ensuite jusqu’à la position de dĂ©part. Vous devriez sentir des tensions au niveau de vos triceps. Faire des dips Le mountain climber Le mountain climber est un exercice poly-articulaire trĂšs complet qui travaille Ă  la fois votre cardio et de nombreux muscles. En plus d’ĂȘtre facile Ă  exĂ©cuter, il ne nĂ©cessite Ă©galement aucun matĂ©riel. Il sollicite Ă  la fois vos abdominaux, vos fessiers, vos cuisses et vos jambes. Mettez-vous en position de pompes. Avancez ensuite un pied de sorte Ă  ce que votre genou se rapproche de votre poitrine. Ramenez-le rapidement en arriĂšre et avancez l’autre pied. C’est comme si vous couriez sur place ou si vous gravissiez une pente d’oĂč son nom mountain climber ». Durant le mouvement, contractez vos abdos et vos fessiers et veillez Ă  ce que seule la partie infĂ©rieure de votre corps bouge. Mountain climber Quelques conseils Ă  suivre Afin de complĂ©ter ce guide, voici quelques conseils Ă  suivre si vous souhaitez vous muscler rapidement. L’intensitĂ© et le volume le secret de la prise de masse rapide Lorsque vous vous entraĂźnez, misez sur l’intensitĂ© et le volume. Les efforts intenses font travailler les muscles au maximum, ce qui vous fait gagner plus rapidement en masse musculaire. Augmentez progressivement les charges au cours des sĂ©ries ou faites des rĂ©pĂ©titions jusqu’à l’échec musculaire. Faites Ă©galement plus de rĂ©pĂ©titions et de sĂ©ries afin de prolonger vos efforts. Variez les exercices de musculation pour Ă©viter de stagner au bout d’un moment. Votre mĂ©tabolisme va Ă©voluer au fil des entraĂźnements. Adopter un rĂ©gime alimentaire adĂ©quat Le rĂ©gime alimentaire est primordial si vous envisagez de prendre du muscle rapidement. Une alimentation riche en protĂ©ines est cruciale. Ne nĂ©gligez pas non plus les bons glucides pour un apport optimal en Ă©nergie, et consommer beaucoup de fruits et lĂ©gumes pour maximiser les apports en vitamines et en minĂ©raux. Boostez vos nutriments grĂące Ă  la consommation de complĂ©ments alimentaires. Ce sont des produits naturels fortement concentrĂ©s en protĂ©ines, en minĂ©raux et en vitamines essentiels Ă  votre prise de masse rapide. Une fois de plus, tout cela aura des effets bĂ©nĂ©fiques sur votre mĂ©tabolisme. Observer des jours de repos Il est important de respecter les jours de repos si vous souhaitez faire fructifier vos efforts. MĂȘme si vous ne vous sentez pas fatiguĂ©, vos muscles ont besoin de ces pĂ©riodes de rĂ©cupĂ©ration pour se remettre des efforts intenses. De mĂȘme, privilĂ©giez un sommeil de qualitĂ©. Dormez au moins 8 heures par nuit afin que votre organisme puisse se rĂ©gĂ©nĂ©rer. C’est durant la nuit que le recrutement de fibres musculaires est optimal. Bien s’hydrater Enfin, pensez Ă  vous hydrater convenablement. Lors de vos entraĂźnements intensifs, vous perdrez une Ă©norme quantitĂ© d’eau Ă  travers la sudation. Vous devez rĂ©cupĂ©rer ce volume d’eau perdu en buvant rĂ©guliĂšrement de l’eau. GĂ©nĂ©ralement, vous pouvez boire 2 litres d’eau et plus durant les journĂ©es d’entraĂźnement. Variez votre apport en eau en buvant de l’eau de coco et des boissons isotoniques. PassionnĂ© de sport et diplĂŽmĂ© de STAPS, je suis votre coach sportif virtuel. Je vous partage tous mes conseils et astuces pour ĂȘtre en forme et amĂ©liorer vos performances. Si vous voulez en savoir plus sur moi, c’est par ici. 1mbIM60.
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